• Né le 19 novembre 1862 - Aullène (2A)
• Décédé - Aullène (2A)
• Inhumé - Aullène (2A)
• Parents
• Joseph Antoine Lucchini 1827-1903
• Maria Giovanna Lucchini 1836-1909

Mariages et enfants

• Marié le 7 août 1890, Aullène (2A), Corse-du-Sud, France, avec Nunzia Maria Benedetti 1871-1952 ,
        Parents Baptiste Benedetti ca 1806-ca 1882  &  Anne Marie nom famille ? 1833/1835 (témoins mariage : Jean Paul Bacciochi, Jacques Alphonse Lucchini, Edouard Poli, Vincent Lovichi)

Relations

• Témoin au mariage de Ghjan Francescu Chiaroni et de Angeline Lesy

Notes

• Né dans la maison de Vincent Lucchini. Témoins à la naissance : Jean Lucchini 36 ans laboureur (né vers 1826) et Vincent Lucchini 37 ans laboureur (né vers 1825). Son père, gendarme à l'époque, était alors en poste à Porto Vecchio.
  
  Au registre, son prénom est écrit "Geofroy", "Godefroid" et "Godfroy".
  
  Marié avec Nunzia Benedetti le 7 août 1890 à Aullène ; témoins au mariage : Jean Paul Bacciochi cultivateur 44 ans non parent (né vers 1846), Jacques Alphonse Lucchini cultivateur 29 ans parent au 7ème degré avec l'époux, Edouard Poli cultivateur 21 ans parent au 8ème degré des parties, Vincent Lovichi sans profession 21 ans parent également des parties.
  
  Sans enfant.
  
  Il était menuisier à Aullène. De son vivant, Angelin Natali rangeait encore des livres sur des étagères fabriquées par ziu Grufedu.
  
  En 1921, avec l'argent de sa pension de veuve de guerre, Stivanina, l'épouse de Sébastien Lucchini, avait acheté la maison qui se trouve encore dans la famille directe et y hébergeait en bas son beau-frère Grufedu et sa femme Nunzietta.
  
  Lorsque Stépha était toute petite, dans les trois ans, elle se souvient que les un-peu-plus grands profitaient qu'un noeud du plancher avait sauté pour faire pipi par le trou sur la table de l'oncle Grufedu juste en-dessous. Stépha était la plus petite et ne courait pas assez vite...
  
  Ziu Grufedu, tout comme ziu Nicolinu qui demeurait dans la maison en face, avait préparé son cercueil à l'avance puis l'avait entreposé au grenier. Stépha se rappelle, qu'enfants, ils se glissaient dans le grenier, pour essayer, eux aussi, le cercueil.
  
  Stépha se souvient que lorsqu'Antoinette, leur mère, leur donnait une fessée, leur tante Nunzietta les consolait toujours, et parfois d'une piècette.